• (environ 2 heures), en boucle, pour une vue d’ensemble :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>- Plaça d’España, rejoindre <st1:personname productid="la Calle" w:st="on">la Calle</st1:personname> des Caputxins, passer devant le Mercat de l’Olivar, rejoindre <st1:personname productid="la Calle San" w:st="on">la Calle San</st1:personname> Miguel (Eglise San Miquel : statue miraculeuse de <st1:personname productid="la Vierge" w:st="on">la Vierge</st1:personname>, qui aurait été apportée par Jacques 1er et tableaux de la traversée), jusqu’à la Plaça Major (chercher la plaque indiquant la maison natale de Ramon Llull), puis Calle Jaume II, tourner à droite (escaliers, ruelles), jusqu’à San Nicolau, puis les Ramblas (Passeig del Born), remonter sur la gauche jusqu’à <st1:personname productid="la Pla￧a Cort" w:st="on">la Plaça Cort</st1:personname>, marcher en direction de <st1:personname productid="la Cath←drale" w:st="on">la Cathédrale</st1:personname> et du Palais de <st1:personname productid="La Almudaina" w:st="on">La Almudaina</st1:personname>,

     

     

     

     

     












    partir derrière <st1:personname productid="la Cath←drale" w:st="on">la Cathédrale</st1:personname> (suivre « Banys Arabs »), nombreuses rues anciennes/patios, jusqu’à Calle Serra (repos aux ruines des Bains Arabes), remonter jusqu’à Plaça San Francisco (crochet possible vers le quartier du Temple, entrée de l’ancienne commanderie de l’ordre à Majorque –de 1229 à 1312- au bout de <st1:personname productid="la Calle Ramon" w:st="on">la Calle Ramon</st1:personname> Llull, quartier en rénovation active),

    Ancienne commanderie des Chevaliers de l'Ordre du Temple :














    Poursuivre vers la Plaça Santa Eulalia (l’église du même nom est celle de l’une des plus anciennes paroisses de la cité), Calle Morey (une des plus vieilles imprimeries d’europe, plaque rappelant la famille Guasp de 1579 à 1931), Palis Can Olesa, Calle Sant Crist, jusqu’à Via Sindicato, jusqu’à l’Avenida G. Alomar Villalonga (ou à gauche avant), pour rejoindre de nouveau <st1:personname productid="la Pla￧a" w:st="on">la Plaça</st1:personname> d’España.<o:p></o:p>

    Centre Culturel du Vin : 22 Miquel Marques, Palma.<o:p></o:p>

    Artisan (paniers, chapeaux, … ) : Ca la Seu, Calle 17 Corderia.<o:p></o:p>

    Déjeuner rapide : sandwiches « El Tran », place d’Espagne, entre les deux gares (petit train électrique circulant au dessus des têtes, produits frais).<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Vélos : gratuits dans certains parkings : Parc de la Mar, Via Roma et Santa Pagesa.<o:p></o:p>


    Visites guidées : +34 971 720 720 (départ Plaça de Cort). Peu en français.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Musées : de Majorque (Museu de Mallorca, Carrer de <st1:personname productid="la Portella" w:st="on">la Portella</st1:personname>, 5, archéologie, retables gothiques, …), diocésain (Museu Diocesa, Carrer d’en Calders, 2, peintures, et sculptures gothiques), de la ville (château de Bellver), Miro (Joan de Saridakis, 29), Es Baluard. <o:p></o:p>

    Insolite : <st1:personname productid="la Cafeteria Cockpit" w:st="on"><st1:personname productid="la Cafeteria" w:st="on">la Cafeteria</st1:personname> Cockpit</st1:personname> Cafe, et son simulateur de vol d’Airbus A 320 (48 €/heure, café non compris).  Calle Golf de Cadis (quartiers Molinar / Ciutat Jardin).<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Palma ne s’appelle pas « Palma de Mallorca » (il n’y a pas d’autres « Palma », même aux Canaries !), mais Palma (tout court) ou La Ciutat.
    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


    La Cathédrale et l'Almudaina (à gauche), vus par le promeneur en quittant les Ramblas :


    votre commentaire
  • <o:p> </o:p>

    1. Andratx<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Port, restaurants, urbanisation un peu débridée et particulièrement teutonne. A Andratx, l’allemand se lâche. Il devient méditerranéen et méconnaissable (quoique). Début de la chaîne montagneuse (et retour à la nature) à Sant Elm (San Telmo), juste à côté et point de départ de belles balades à pieds.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p> Santa Ponsa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Chapelle (Pedra Sagrada) de la première messe d’après le débarquement (près de la route Palma-Andratx) ; col de la bataille ;<o:p></o:p>

    Ruine de maison romaine près du supermarché « Caprabo » (pour amateurs éclairés seulement, surtout, ne pas faire le déplacement exprès !) ;<o:p></o:p>

    « AccroBranche » (parcours sportif dans les arbres), sur la route Santa Ponsa / El Toro (www.jungleparc.es, ouvert de mai à octobre).<o:p></o:p>

    Nombreux Golfs (un peu chers).<o:p></o:p>


    C’est à Santa Ponsa que le film « Bahia de Palma » a été tourné, en 1962, avec l’actrice Elke Sommer en bikini pour la première fois à l’écran : un grand tournant du cinéma ! A la plage El Mago, a été tourné en 1968 le film « The Magus » (« Jeux Pervers », en français) débuté en Grèce et transporté à Majorque pour cause de coup d’état (A. Quinn, C. Bergen, M. Caine). En 1984, s’y déroula une rencontre entre le grand démocrate lybien Kadhafi et le chef du Gouvernement espagnol, F. Gonzalez.

    A côté de Santa Ponsa, le village d'El Toro, sur la côte de Calvia, jouxte celui de Son Ferrer. A la différence de Santa Ponsa, cosmopolite et touristique, cette partie reste encore habitée par les majorquins. A El Toro, le port Adriano est en cours de travaux d'agrandissement : une vraie insulte à la protection du site, d'autant que les bateaux polluants et ostentatoires restent souvent au port. Pour contrebalancer l'idiotie du projet, les promoteurs font dans le conceptuel, en faisant appel à des architectes et designers connus, dont un célèbre français.

    Durant ce temps, la nature fait son cinéma. Voici une photo du port actuel et de l'annexe en travaux, fin octobre 2008, durant une belle phase de tempête :

     Tempête de début octobre 2008, Port Adriano, El Toro / Santa Ponsa :

    <o:p> Sur la côte de Calvia, vers la ville de Palma, à</o:p> Bendinat, il est dit que le Roi Jacques 1er le Conquérant, le soir de la première bataille, victorieuse, s’est arrêté pour dîner : il y avait peu de chose à se mettre sous la dent, mais le Roi ayant pris son repas, aurait dit « havem bendinat » (j’ai bien dîné). Car tous les dîners sont bons, les soirs de victoire (cf « Textes »). Dans une autre version, c’est un toponyme typiquement arabe (Ben Dina = le fils de Dina).
    <o:p></o:p>

    <o:p>L'île de Majorque est connue pour ses tours de guets, saupoudrées sur les côtes. Elles datent naturellement du temps où les pirates barbaresques attaquaient fréquemment les côtes majorquines, pour s'approvisionner. Elles cachent que Majorque est elle-même devenue ensuite une île de pirates... (voir les textes, dans leur rubrique).

    Tour de Guet, à Portals Vells ou Playa El Mago :
     <o:p>
    </o:p>
    </o:p>

    <o:p> </o:p>













    1. San Telmo<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Excursion du haut de San Telmo jusqu’au Monastère (ruines) de La Trapa. 3H00 A/R. Attention : à partir de la maison abandonnée de Can Tomevi (photo), surtout ne pas suivre le tracé du GR 221 (abrupt), mais le chemin de montagne (à droite). Sur cette portion, pas de panneau indiquant le GR.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Point de départ (ou d’arrivée) du chemin piétonnier entre l’est et l’ouest de la chaîne montagneuse (GR 221, Ruta de Piedra Sec, avec refuges en cours de construction -à petite vitesse).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

     

    1. Portals Nous (Puerto Portals)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Port de luxe, bateaux de luxe, boutiques de luxe, restaurants de luxe, femmes de luxe, mais caviste accessible aux pauvres gens assoiffés : vins majorquins, entre autres.<o:p> </o:p>

    A Palmanova / Magalluf (plage de Son Maties, hiver et printemps seulement) : location de vélos et de rosalies, chez « Pepe Bikes ».

    Nombreuses pistes cyclables longeant les routes ; dix routes cyclables identifiées (plans sur les pistes cyclables), de <st1:metricconverter productid="20 km" w:st="on">20 km</st1:metricconverter> à <st1:metricconverter productid="80 km" w:st="on">80 km</st1:metricconverter>. Ces dispositions sont très pratiques et agréables.




     

    <o:p></o:p>

    <o:p>

    </o:p>

    votre commentaire
  • <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>Sineu<o:p></o:p>

    Ancienne capitale de Majorque, bien protégée au centre de l'île, loin de la mer et de ses misères continuelles. Marché très vivant, mercredis matins, qui devient cependant assez touristique (le marché de Sineu est même parfois prévu au programme des tours operators). Voir également le marché de Santa Maria del Cami (dimanches matins).

    Le centre de Majorque est tout spécialement le lieu de la vie paysanne. La mer est loin. Toute la vie y repose encore beaucoup sur l'agriculture et ses modes de vie. Le siurell -petit sifflet de terre cuite peinte- était l'instrument des paysans et des bergers. Son histoire est mal cernée, il provient sans doute du moyen-âge. Il symbolise souvent Majorque. Sur cette photo, c'est "l'armée de terre cuite", non pas d'un riche seigneur de guerre chinois, mais d'un commerçant Palmesan abordant le touriste en ordre de bataille...

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1. Shopping à prix d’usine (Festival Park)<o:p></o:p>

    Route de Palma à Manacor.<o:p></o:p>

    Magasins d’usines et de fabricants locaux (Camper, …). Prix intéressants, arrivages inégaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    1. Citadelle d’Alaro<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Route de Palma à Inca, à Consell, suivre les panneaux. Belle excursion : chemin escarpé, se garer à l’Auberge d’Es Verger (déjeuner possible, peu de tables). Chemin à pieds. 2 heures A/R.<o:p></o:p>

    Ascension également possible à partir d’Orient.<o:p></o:p>

    Voir également le château de Capdepera (près d’Arta).<o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1. Ermitage de Sa Randa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Route de Palma à Manacor, en passant par Algaïda, Randa (suivre les panneaux « Cura ») ou route d’El Arenal à Lluchmayor.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Plus ancienne église de l’Ile : à Castellitx (Saint Pierre et Saint Paul). Voir également ruines de l’église dite paléo-chrétienne (avant la conquête arabe), à Son Pereto (près de Manacor).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1. Inca<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Cuirs, fabrication de chaussures (Camper, Lotusse). Cher. Marché les jeudis matins.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Peut-être la plus vieille église de l’île (1248).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    1.  Manacor <o:p></o:p>

    Musée d’Histoire. Voir également l'hippodrome, avec de belles courses de chevaux, comme à Palma, cette activité restant assez soutenue dans l'île.<o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    1.  Costitx :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Planetarium (19H00), Cami de l’Observatori.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    1.  Petits villages majorquins typiques :<o:p></o:p>

    Voir : Llogarets, Biniagual, Biniali, Biniaraix (classé parmi les "plus beaux villages d'Espagne"), Binibona, Orient, Jornets, Marratxinets, Ruberts, Ses Alqueries ou encore, Ullaro.

    Plus près de Palma, Villafranca (de Bonany) est le village typique renommé pour ses fruits et ses légumes :

    <o:p> </o:p>


    votre commentaire
  • <o:p> </o:p>

    1. Soller<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Par le train : départ de Palma, Plaça de España (horaires Palma-Soller : 8H00, 10H50, 13H05, 15H15, 19H00 ; retours : 7H00, 9H10, 11H55, 14H10, 18H00).

    <o:p></o:p>

     

     

     

     

     

     

     

    Visite de la Ville : musée de la mer (Oratorio Santa Catarina), jardin botanique.

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    Promenade sur le Port (tramway Ville-Port)<o:p></o:p>

     

    Fête « Christianos y moros » (mai).<o:p></o:p>

     

    <o:p></o:p>

     

    Autour de Soller : très belles randonnées dans la montagne, notamment, près des gorges de Cuber.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

     

    1. Valldemossa (un seul « s » en castillan)<o:p></o:p>

    Palais du Roi Sancho, promenade dans la ville. Célèbre pour sa Chartreuse et ses franchouillards visiteurs, dont l’une était, de surcroît, prolifique en littérature (mais l’œuvre qui en est ressortie –« Un Hiver à Majorque »- mérite autant d’intérêt que les courriers de réclamations adressés à l’Office de Tourisme : voici donc le lieu de célébrité de la très pénible Georges Sand (qui « réclamait l’honneur d’avoir découvert - !!!- Majorque »), laquelle était déjà venue quelques années auparavant avec un autre boyfriend, Musset).

    Arrivé le 18 octobre 1838, Chopin aurait composé sur place quelques pièces illustres, malgré (ou à cause de) sa grande répulsion pour le cloître et pour ses fantômes, comme les préludes n°4 (ou 6 ou n°15, il y a débat), intitulé « Les gouttes d’eau » (subtile allusion à Georges Sand, qui avait déjà fait déborder le vase). Il composera également une ballade en fa majeur, deux polonaises et la sonate en si bémol. Ils partent le 1er juin 1839 ; Chopin tiendra encore une dizaine d’années, mais sans la mégère, après huit jours de soins intensifs à Barcelone. Georges Sand se vengera de Majorque (mal, puisqu’elle en décrit le charme) et de ses « méchants » paysans.

    Arrivé en retard, le piano Pleyel du maître est, quant à lui, demeuré à la Chartreuse. <o:p></o:p>


    Valldemossa, village perché à <st1:metricconverter productid="400 m│tres" w:st="on">400 mètres</st1:metricconverter> au dessus de la mer, est réputé pour son « micro climat » (quel village n’en possède pas, de nos jours ?) et sa végétation printanière. Rappelons que c’est le village natal de la Sainte Santa Catalina Tomas.<o:p></o:p>

    Manuel de Falla, le musicien, en bon « chercheur d’îles » (David Guerrero) est également venu plusieurs fois à Valldemossa, dans les années trente.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    1. Ferme majorquine Sa Granja<o:p></o:p>

    Esporles, route de Bañalbufar à Valldemosa.<o:p></o:p>

    Dans le même genre, voir également le Musée de la Vie Majorquine, près de Sant Joan (Es Calderers).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>

    1. Bañalbufar<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Promenade dans le village, temple de la culture en terrasses. <o:p></o:p>

    Le système d’irrigation est une curiosité en soi. <o:p></o:p>

    Production de vin (Malvoisie) depuis le moyen âge.<o:p></o:p>

    Tour de guet de Ses Animes à proximité.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    1. Puigpuñent<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Réserve naturelle <st1:personname productid="La Reserva" w:st="on">La Reserva</st1:personname>, Puig del Galatzo (suivre les panneaux), promenade à pieds, animaux en liberté, parcours « accrobranche » et baignades dans le torrent. www.lareservaaventur.com<o:p></o:p>

    <o:p> <o:p></o:p></o:p>

     

     

     

     

     

     

     

    Galatzo : montagne magique, autour de laquelle rôde le spectre du Comte Mal, mort en 1698, qui surveille de loin les enfants qui ne mangent pas leur soupe. <o:p></o:p>

    <o:p> 
    </o:p>

    Monastère de Lluch (Escorca)<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Haut lieu spirituel majorquin et paysage splendide. Lucus, le bois sacré des romains, reste Al Luc pour les sarrasins et devient Lluc ou Lluch, c’est selon. Vierge noire, pèlerinage (dernier dimanche d’août), manécanterie de petits chanteurs (Blavets), musée archéologique, marche, caverne préhistorique Cometa dels Morts, plus quelques miracles, selon la tradition. La première route qui a remplacé les chemins muletiers pour atteindre Lluc date de 1891. Les pélerins passaient par le chemin qui part de Caimari, jalonné de sept médaillons de pierre qui rappellent les sept bonheurs de la Vierge. La Vierge noire (la moreneta de Lluc) est en marbre, mesure <st1:metricconverter productid="61 cm" w:st="on">61 cm</st1:metricconverter> et date de 1417, au moins. <o:p></o:p>

    A voir : sous la neige (fin décembre) ou au soleil couchant. Ou les deux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>Sa Calobra / Torrent de Pareis<o:p></o:p>

    Embouchure du torrent à une centaine de mètres de la plage. La marche dans le lit du torrent est ardue et non balisée ; elle peut être franchement dangereuse si le niveau de l’eau est susceptible de monter rapidement (orages et pluies fortes).

     

    Moyennant quoi, c’est une très belle randonnée. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p>

    La Calobra est un enfer, l’été, comme aux heures d’affluence : route étroite, peu de places en bas (parking payant à droite, en arrivant, route en sens unique). <o:p></o:p>

    </o:p></o:p>

    <o:p><o:p><o:p></o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p><o:p></o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

     

    1. La Ruta de Pedra en Ruta de Pedra a Sec<o:p></o:p>

    Un chemin en cours de réalisation (GR 221), huit étapes, avec des refuges, dont deux sont achevés (La Trapa, Alaro/S’Hostageria, Soller/Muleta-réalisé, Can Boi, Son Amer, Tossals Verds-réalisé). Une trentaine de places par refuge, réservation nécessaire : GOB, téléphone : 971721105 (décroche rarement...).

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    Pour franchir la montagne d’est en ouest, de Pollensa à Andratx, ou inversement.

    <st1:metricconverter productid="150 km" w:st="on">150 km</st1:metricconverter> de route, des cols à plus de <st1:metricconverter productid="1.000 m│tres" w:st="on">1.000 mètres</st1:metricconverter>. Balisage spécifique. Développement à suivre.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    http://www.conselldemallorca.net/mediambient/pedra/senderisme.php?opcio=2<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

     

     

     

     

    Dans les hameaux entre Felanitx et Soller, sur la partie habitée du GR 221, il est possible de chercher des maisons aux tuiles peintes, typiques de Soller et de sa vallée. L'origine de cette coutume est mal connue : sans doute les habitants maures du moyen-âge enduisaient-ils ainsi les tuiles avec des images destinées à éloigner le mauvais sort. Les motifs visibles sont naturellement contemporains, mais perpétuent le même usage : 

     

    <o:p>












    </o:p>
    <o:p> </o:p>

    Les Fonts Ufanes<o:p></o:p>

    Des torrents jaillissent à même le sol de la forêt. Phénomène propre à l’île, ces fontaines proviennent du Puig Tomir (à voir autour de la Finca Gabellì Petit).<o:p></o:p>


     

    1. Son Marroig et Miramar (Deia)<o:p></o:p>

    Résidences de l’Archiduc Louis-Salvator de Habsbourg et ruines du monastère / école de langues du moyen âge (Ramon Llull). Promenade à pied vers Na Foradada (2H30 A/R, s’abstenir durant la saison chaude).<o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Déia, village de charme, est prisé des écrivains et des poètes.

    <o:p></o:p>

     

    S’y trouvent la maison et la tombe de l’écrivain Robert Graves (Can Alluny).

    Anaïs Nin, auteur du célèbre « Venus Erotica » est passée à Déia, dans les années vingt du siècle dernier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


    votre commentaire
  • Est

    <o:p> </o:p>

    1. Arta<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Grotte d’Arta : route d’Arta à Canyamel

    Village pré-historique : Ses Païsses

    <o:p></o:p>

    Château (citadelle) d’Arta

    <o:p> </o:p>

    Es Calderers (Sant Joan) : musée de la vie majorquine<o:p></o:p>

    Château de Capdepera<o:p></o:p>

    Château de Santuiri<o:p></o:p>

    Zoo : Sa Coma, Ctra Porto Cristo – Cala Millor<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>Alcudia<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ruines romaines (ex-Pollentia, attention : différent de l’actuel « Pollensa ») ;<o:p></o:p>

    Ville de Metellus, détruite par les Vandales<o:p></o:p>

    Amphitéâtre romain : à l’écart du site, fléché depuis le parking ;<o:p></o:p>

    Murs d’enceinte et vieille ville.

    <o:p></o:p>

    Lieu de révolte des Communeros, en 1521 (Germanas), sanglante, et réprimée par les troupes de Charles-Quint.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p></o:p>

    1. Pollensa<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Plages aux alentours de Formentor.<o:p></o:p>

    Calvaire : Puig del Calvari, à Pollensa (365 marches, panorama, procession à Pâques, le vendredi saint, dit « le clou de Pollensa »). Folklorique cérémonie du vendredi saint, à Pâques.

    <o:p></o:p>

    Puig de Santa Maria (<st1:metricconverter productid="333 m│tres" w:st="on">333 mètres</st1:metricconverter>, Eglise romane, vue extraordinaire)<o:p></o:p>

    Castell del Re<o:p></o:p>

    Cloître (foire du vin, en avril)<o:p></o:p>

    Eglise du XIIIe siècle, construite par les Templiers<o:p></o:p>

    Eglise Saint Georges XVIe siècle : en 1550, les femmes et les enfants y sont enfermés, lors de l’attaque des pirates de Dragut, courageusement repoussés.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pont Romain (torrent de Sant Jordi) : excentré, sur la route Pollensa / Soller<o:p></o:p>

    Agatha Christie a écrit « Problem at Pollensa Bay », à lire en anglais, seulement.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>


    votre commentaire