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    1. Soller<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Par le train : départ de Palma, Plaça de España (horaires Palma-Soller : 8H00, 10H50, 13H05, 15H15, 19H00 ; retours : 7H00, 9H10, 11H55, 14H10, 18H00).

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    Visite de la Ville : musée de la mer (Oratorio Santa Catarina), jardin botanique.

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    Promenade sur le Port (tramway Ville-Port)<o:p></o:p>

     

    Fête « Christianos y moros » (mai).<o:p></o:p>

     

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    Autour de Soller : très belles randonnées dans la montagne, notamment, près des gorges de Cuber.<o:p></o:p>

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    1. Valldemossa (un seul « s » en castillan)<o:p></o:p>

    Palais du Roi Sancho, promenade dans la ville. Célèbre pour sa Chartreuse et ses franchouillards visiteurs, dont l’une était, de surcroît, prolifique en littérature (mais l’œuvre qui en est ressortie –« Un Hiver à Majorque »- mérite autant d’intérêt que les courriers de réclamations adressés à l’Office de Tourisme : voici donc le lieu de célébrité de la très pénible Georges Sand (qui « réclamait l’honneur d’avoir découvert - !!!- Majorque »), laquelle était déjà venue quelques années auparavant avec un autre boyfriend, Musset).

    Arrivé le 18 octobre 1838, Chopin aurait composé sur place quelques pièces illustres, malgré (ou à cause de) sa grande répulsion pour le cloître et pour ses fantômes, comme les préludes n°4 (ou 6 ou n°15, il y a débat), intitulé « Les gouttes d’eau » (subtile allusion à Georges Sand, qui avait déjà fait déborder le vase). Il composera également une ballade en fa majeur, deux polonaises et la sonate en si bémol. Ils partent le 1er juin 1839 ; Chopin tiendra encore une dizaine d’années, mais sans la mégère, après huit jours de soins intensifs à Barcelone. Georges Sand se vengera de Majorque (mal, puisqu’elle en décrit le charme) et de ses « méchants » paysans.

    Arrivé en retard, le piano Pleyel du maître est, quant à lui, demeuré à la Chartreuse. <o:p></o:p>


    Valldemossa, village perché à <st1:metricconverter productid="400 m│tres" w:st="on">400 mètres</st1:metricconverter> au dessus de la mer, est réputé pour son « micro climat » (quel village n’en possède pas, de nos jours ?) et sa végétation printanière. Rappelons que c’est le village natal de la Sainte Santa Catalina Tomas.<o:p></o:p>

    Manuel de Falla, le musicien, en bon « chercheur d’îles » (David Guerrero) est également venu plusieurs fois à Valldemossa, dans les années trente.<o:p></o:p>

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    1. Ferme majorquine Sa Granja<o:p></o:p>

    Esporles, route de Bañalbufar à Valldemosa.<o:p></o:p>

    Dans le même genre, voir également le Musée de la Vie Majorquine, près de Sant Joan (Es Calderers).<o:p></o:p>

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    1. Bañalbufar<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Promenade dans le village, temple de la culture en terrasses. <o:p></o:p>

    Le système d’irrigation est une curiosité en soi. <o:p></o:p>

    Production de vin (Malvoisie) depuis le moyen âge.<o:p></o:p>

    Tour de guet de Ses Animes à proximité.<o:p></o:p>

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    1. Puigpuñent<o:p></o:p>

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    Réserve naturelle <st1:personname productid="La Reserva" w:st="on">La Reserva</st1:personname>, Puig del Galatzo (suivre les panneaux), promenade à pieds, animaux en liberté, parcours « accrobranche » et baignades dans le torrent. www.lareservaaventur.com<o:p></o:p>

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    Galatzo : montagne magique, autour de laquelle rôde le spectre du Comte Mal, mort en 1698, qui surveille de loin les enfants qui ne mangent pas leur soupe. <o:p></o:p>

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    Monastère de Lluch (Escorca)<o:p></o:p>

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    Haut lieu spirituel majorquin et paysage splendide. Lucus, le bois sacré des romains, reste Al Luc pour les sarrasins et devient Lluc ou Lluch, c’est selon. Vierge noire, pèlerinage (dernier dimanche d’août), manécanterie de petits chanteurs (Blavets), musée archéologique, marche, caverne préhistorique Cometa dels Morts, plus quelques miracles, selon la tradition. La première route qui a remplacé les chemins muletiers pour atteindre Lluc date de 1891. Les pélerins passaient par le chemin qui part de Caimari, jalonné de sept médaillons de pierre qui rappellent les sept bonheurs de la Vierge. La Vierge noire (la moreneta de Lluc) est en marbre, mesure <st1:metricconverter productid="61 cm" w:st="on">61 cm</st1:metricconverter> et date de 1417, au moins. <o:p></o:p>

    A voir : sous la neige (fin décembre) ou au soleil couchant. Ou les deux.<o:p></o:p>

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    <o:p> </o:p>Sa Calobra / Torrent de Pareis<o:p></o:p>

    Embouchure du torrent à une centaine de mètres de la plage. La marche dans le lit du torrent est ardue et non balisée ; elle peut être franchement dangereuse si le niveau de l’eau est susceptible de monter rapidement (orages et pluies fortes).

     

    Moyennant quoi, c’est une très belle randonnée. <o:p></o:p>

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    La Calobra est un enfer, l’été, comme aux heures d’affluence : route étroite, peu de places en bas (parking payant à droite, en arrivant, route en sens unique). <o:p></o:p>

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    1. La Ruta de Pedra en Ruta de Pedra a Sec<o:p></o:p>

    Un chemin en cours de réalisation (GR 221), huit étapes, avec des refuges, dont deux sont achevés (La Trapa, Alaro/S’Hostageria, Soller/Muleta-réalisé, Can Boi, Son Amer, Tossals Verds-réalisé). Une trentaine de places par refuge, réservation nécessaire : GOB, téléphone : 971721105 (décroche rarement...).

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    Pour franchir la montagne d’est en ouest, de Pollensa à Andratx, ou inversement.

    <st1:metricconverter productid="150 km" w:st="on">150 km</st1:metricconverter> de route, des cols à plus de <st1:metricconverter productid="1.000 m│tres" w:st="on">1.000 mètres</st1:metricconverter>. Balisage spécifique. Développement à suivre.<o:p></o:p>

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    http://www.conselldemallorca.net/mediambient/pedra/senderisme.php?opcio=2<o:p></o:p>

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    Dans les hameaux entre Felanitx et Soller, sur la partie habitée du GR 221, il est possible de chercher des maisons aux tuiles peintes, typiques de Soller et de sa vallée. L'origine de cette coutume est mal connue : sans doute les habitants maures du moyen-âge enduisaient-ils ainsi les tuiles avec des images destinées à éloigner le mauvais sort. Les motifs visibles sont naturellement contemporains, mais perpétuent le même usage : 

     

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    Les Fonts Ufanes<o:p></o:p>

    Des torrents jaillissent à même le sol de la forêt. Phénomène propre à l’île, ces fontaines proviennent du Puig Tomir (à voir autour de la Finca Gabellì Petit).<o:p></o:p>


     

    1. Son Marroig et Miramar (Deia)<o:p></o:p>

    Résidences de l’Archiduc Louis-Salvator de Habsbourg et ruines du monastère / école de langues du moyen âge (Ramon Llull). Promenade à pied vers Na Foradada (2H30 A/R, s’abstenir durant la saison chaude).<o:p></o:p>

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    Déia, village de charme, est prisé des écrivains et des poètes.

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    S’y trouvent la maison et la tombe de l’écrivain Robert Graves (Can Alluny).

    Anaïs Nin, auteur du célèbre « Venus Erotica » est passée à Déia, dans les années vingt du siècle dernier.<o:p></o:p>

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